Jean-Nico Blanchet du Journal de Québec, a fait capoter les fefans hier. Une chronique basée sur de simples statistiques montre que Juraj Slafkovsky est le pire premier choix des 26 dernières années. Point de vue des statistiques dans ses 50 premiers matchs.
D’abord, comment un journaliste de Québec qui n’a jamais mis les pieds à Montréal à part pour aller à l’Oratoire St-Joseph prier le frère André, peut-il y connaître quelque chose sur les joueurs du Canadien ?
Ensuite, si les journalistes de Montréal ne disent rien sur Slafkovsky, eux qui connaissent leur hockey et surtout leur Canadien, c’est parce qu’il n’y a rien à dire. Sinon, ils le diraient. Simple logique, dirait Rouletabille.
C’est nous, les fefans qui avons donc raison d’envoyer paître ce cadre d’un Journal de village.
DE GROS NOMS
Si cet employé de Québec avait voulu faire une bonne job, il aurait souligné que le simple fait d’être parmi ces 50 joueurs repêchés premiers à l’encan, était un gage de réussite…statistique.
Mais aveuglé par sa jalousie et sa rage, il n’a pas dit que Slafkovsky se retrouvait en compagnie de Vincent Lecavalier, de Joe Thornton, de Sidney Crosby, d’Alex Ovechkin, de Nathan Mackinnon, d’Auston Matthews, de Rick Green, de Denis Potvin, de Patrick Kane…
La liste de ces premiers choix est hallucinante. Autrement dit, à part trois ou quatre qui sont devenus des joueurs ordinaires, c’est 90 % de ces surdoués qui ont été extraordinaires.
Les chances de Slafkovsky sont donc très grandes qu’ils deviennent un brillant joueur.
Il a 19 ans, bâtinsse ! Le Village peut-il lui sacrer patience !
En attendant, ça serait peut-être bien que Juraj se décarcasse un peu sur la patinoire. On aime un club qui perd mais faudrait en faire juste assez pour empêcher un envieux de Québec de se mêler des affaires des grandes personnes.
Cette fois, les fefans ont raison. Que Québec s’occupe de ses Remparts junior, nous autres, on va s’occuper des gros pros.
N’oubliez pas que Camil Samson l’a déjà dit : « Nous sommes sur le bord du précipice, ensemble faisons un pas en avant ».
On est sorti des P…
Continuons à nous enfoncer, c’est de même qu’on reconstruit. Un loser satisfait est un loser heureux.